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    Le canard, à la rescousse de la rizière. Et de la planète ?

    Cela aurait pu être un titre à la Audiard, si j'avais décidé de donner un titre à cet article tel,

    ''Le canard, champion du développement durable !''

    ou bien

    ''Le canard, est-il aussi bon pour la couche d’ozone qu'en terrine au poivre vert ?''

    ou encore...

     "SETOP" (à la manière thaïe, prononcez, "cetop") ! Bon ça suffit, et je suis et ne serai jamais Audiard, dialoguiste de ce film d’anthologie dont il fut aussi le réalisateur:

    ”il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages.”

    Il fallait oser un titre aussi long, non ?.

    J'avais aussi remarqué que dans deux films où il ne fut que dialoguiste et c'est déjà beaucoup et primordiale les dialogues dans un film, il parlait du canard.

    Le premier “100 000 dollars au soleil.”

    Incontournable, avec le grand Lino Ventura et l'autre film dont j'ai oublié le titre où d'ailleurs Belmondo joue, comme dans le premier d'ailleurs, mais meurt à la fin je sais, cela fait beaucoup de lacunes accumulées, alors éclairez moi ! Le titre ?. Donc, dans ce deuxième film, cette réplique sort de la bouche de Belmondo c'est aussi d'actualité puisque à Cannes, ils lui ont rendus hommage, quel timing le farang Isan !,

    [...]

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